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Lors de son face à face avec les journalistes, le député libéral et par ailleurs leader de la coalition MLD 2024 a salué la décision historique prise par le conseil constitutionnel. Selon Mamadou Lamine Diallo, ces 7 sages méritent de vibrant hommage en ces moments terribles de l'histoire politique sénégalaise. D'ailleurs, il a fait le point sur sa rencontre avec Macky Sall et ses visions pour le développement du Sénégal.  Mamadou Lamine Diallo a était clair sur son discours sur l'actualité au Sénégal.  En effet, il a souligné qu'au départ, le président Sall voulait faire ce qu'on appelle un coup d'État constitutionnel quand il a sorti un décret abrogeant le processus électoral en complicité avec les députés du Pds et de sa coalition Benno bokk yaakaar:" Le président de la République avait démarré par un Coup d'État constitutionnel  lorsqu'il publiait un décret abrogeant le corps électoral.", a indiqué l'honorable Mamadou Lamine...

Dans une interview exclusive accordé à l’AP le président du Sénégal défend le report des élections et balayé les accusations d’inconstitutionnalité de la décision, mais n’a pas voulu dire s’il accepterait la décision éventuelle du Conseil constitutionnel.  Le président sénégalais Macky Sall a défendu sa décision de reporter les élections.  Dans sa première interview depuis l’annonce du report, M. Sall a balayé les allégations selon lesquelles la décision était inconstitutionnelle et qu’il avait créé une crise constitutionnelle. Selon Macky Sall, le Sénégal avait besoin de plus de temps pour résoudre les controverses concernant la disqualification de certains candidats et un conflit entre les pouvoirs législatif et judiciaire. M. Sall a nié qu’il cherchait à s’accrocher au pouvoir. « Je ne cherche absolument rien d’autre que de laisser un pays en paix et stable », a déclaré M. Sall. « Je suis tout à fait prêt à passer le relais. J’ai toujours été programmé pour cela...

Moussa Bocar Thiam, l’avocat du Monstre (édito commun) Il aura marqué son passage au département en charge de la Communication. Une confusion inexplicable sur des dispositions du Code de la Presse en juin 2023 et les programmes de Walfadjiri TV furent suspendus pour trente jours (30) jours. Signé Moussa Bocar THIAM, ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique.   La clameur qui avait envahi alors l’espace public aux fins de dénonciation d’une mesure plutôt attentatoire à la liberté de la Presse, n’a pas suffi à ramollir le ministre, décidément incapable d’apprendre de ses erreurs. Et bis repetita ! un semestre plus tard. Revoilà donc le braconnier qui vient achever l’animal avec le plus redoutable des outils interdits en zone protégée : retirer une licence de télévision comme on retire une vie. Rien de moins.    Cet acte est un coup sournois, une atteinte très grave à la liberté de presse et d'expression dans un pays où la presse a, depuis des déce...